elle demande "J'vous coupe le vert" – "Mais pas du tout !" C'est justement que ce vert, pour un risotto, ce foncé d'un gros poireau, les lattes porassées que vous faites fondre découpées à valeur timbre-poste dans huile pas olive avec le paquet de feuilles d'une branche de céleri, une échalote, cinq six branches de thym, sel poivre, feu doux couvert, puis, ôtant le thym, jetez 150 g de riz lavé, feu vif le temps que ça parle et tiers-verre de vin blanc qui exhale et à re-feu-doux mouillez au bouillon (cube ou celui que vous fîtes et congelâtes de légumes qui traînaient et d'un os garni de veau, par exemple) et remuez jusqu'à l'al dente de rigueur pour c.s. de beurre et, hors du feu, bonne cuillère à soupe d'un chèvre frais, sel poivre.
vous avez arrangé avec un balsamique et de l'h de o des tomates-cerises dont le rouge et brun sur le blanc et vert envisage la palette primesautière de l'écusson d'un guerrier.
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